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Le melon, chapeau à ceux qui le cultivent !

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Le melon, chapeau à ceux qui le cultivent !

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Le melon, chapeau à ceux qui le cultivent ! 

 

Le melon est une star de l’été. Mais se récolte demande beaucoup de soins et de main-d’œuvre. Reportage chez Force Sud, une coopérative près de Montpellier où les producteurs mettent en commun savoir-faire et respect de l’environnement pour proposer des produits de grande qualité. 

 

 

Le melon, une histoire d’abeilles et d’hommes

 

En ce début du mois de mai, les melons ne mesurent qu’un à deux centimètres au bout d’une fleur. Encore faut-il que la fleur ait été pollinisée par une abeille. En effet, sans abeille, pas de pollen et, sans pollen, pas de melon. 


Le melon, c’est des abeilles et des hommes. La plus grande partie du travail se fait manuellement. Avec ses 200 hectares de culture, Mohand Guénin, producteur près de l’étang de Thau, emploie quelque 150 personnes dans les champs et autant en station d’emballage. La récolte a lieu entre soixante-dix et quatre-vingt-dix jours après la plantation. Pour garantir des récoltes durant toute la saison, les plantations se succèdent de semaine en semaine. Et chaque étape est manuelle, de la plantation, donc, au suivi régulier jusqu’à la récolte, et même la sélection dans les unités de conditionnement.
 

 

 

 

Savoir inventer, d’abord en pérennisant l’emploi

 

Il y a une vingtaine d’années, Hugues Ricome, qui « a toujours vécu dans le melon », comprend qu’il n’est plus possible de rester seul pour tout organiser, des plantations à la commercialisation, en passant par la gestion. Il impulse donc une coopérative, Force Sud, regroupant cinq familles de producteurs. Aujourd’hui, la jeune génération prend le relais et la coopérative connaît une croissance impressionnante


Outre l’importance de la main-d’œuvre nécessaire, « le melon est le produit saisonnier sur lequel il y a le plus de tensions sur les prix », explique-t-il. Dans ce difficile contexte, la coopérative a su inventer. D’abord en pérennisant l’emploi dans un secteur pourtant saisonnier, puis en créant un groupement d’intérêt économique regroupant les producteurs et les ostréiculteurs pour garantir l’emploi !


La coopérative produit alors le melon Perle des Champs, un melon charentais première fleur, le seul à être distingué par un « label Rouge ». Un produit d’exception pour un goût authentique. Mais aussi le melon de Cavaillon, cultivé sur des parcelles rigoureusement sélectionnées… 

 

 

 


Les préoccupations environnementales priment

 

Sur le terrain, on réalise aussi que les préoccupations environnementales sont inhérentes au métier des maraîchers : la terre, la qualité des sols et la bonne santé des abeilles sont les incontournables et essentiels outils de travail. Une fois ramassés, les melons arrivent dans des entrepôts où ont lieu l’évaluation, le tri et le conditionnement. Les machines sont impressionnantes mais l’expertise humaine garde la main. Une machine à laser permet de connaître le taux de sucre et donc de garantir la qualité.


Au final, ce n’est pas moins de deux à trois camions par jour de melon qui partent pour nos magasins Grand Frais. Un premier contact à 7 heures du matin permet d’informer l’acheteur de la quantité de produit disponible correspondant aux exigences de qualité de Grand Frais. Parfois, les melons en question ne sont pas encore récoltés. On affine donc en fin de matinée. Et l’ensemble part dans l’après-midi pour être dans les entrepôts dans la soirée et dès le lendemain dans les rayons !
Bref, qu’il s’agisse des retombées socio-économiques locales, de l’aménagement du territoire ou du respect environnemental, tout est vraiment bon au royaume du melon !

 

Et si ce petit avant-goût du magazine vous a plu, et que vous en voulez encore plus, n’attendez plus ! Cliquez-ici pour consulter l’intégralité du magazine en ligne ! 

 

Le melon, chapeau à ceux qui le cultivent ! 

 

Le melon est une star de l’été. Mais se récolte demande beaucoup de soins et de main-d’œuvre. Reportage chez Force Sud, une coopérative près de Montpellier où les producteurs mettent en commun savoir-faire et respect de l’environnement pour proposer des produits de grande qualité. 

 

 

Le melon, une histoire d’abeilles et d’hommes

 

En ce début du mois de mai, les melons ne mesurent qu’un à deux centimètres au bout d’une fleur. Encore faut-il que la fleur ait été pollinisée par une abeille. En effet, sans abeille, pas de pollen et, sans pollen, pas de melon. 


Le melon, c’est des abeilles et des hommes. La plus grande partie du travail se fait manuellement. Avec ses 200 hectares de culture, Mohand Guénin, producteur près de l’étang de Thau, emploie quelque 150 personnes dans les champs et autant en station d’emballage. La récolte a lieu entre soixante-dix et quatre-vingt-dix jours après la plantation. Pour garantir des récoltes durant toute la saison, les plantations se succèdent de semaine en semaine. Et chaque étape est manuelle, de la plantation, donc, au suivi régulier jusqu’à la récolte, et même la sélection dans les unités de conditionnement.
 

 

 

 

Savoir inventer, d’abord en pérennisant l’emploi

 

Il y a une vingtaine d’années, Hugues Ricome, qui « a toujours vécu dans le melon », comprend qu’il n’est plus possible de rester seul pour tout organiser, des plantations à la commercialisation, en passant par la gestion. Il impulse donc une coopérative, Force Sud, regroupant cinq familles de producteurs. Aujourd’hui, la jeune génération prend le relais et la coopérative connaît une croissance impressionnante


Outre l’importance de la main-d’œuvre nécessaire, « le melon est le produit saisonnier sur lequel il y a le plus de tensions sur les prix », explique-t-il. Dans ce difficile contexte, la coopérative a su inventer. D’abord en pérennisant l’emploi dans un secteur pourtant saisonnier, puis en créant un groupement d’intérêt économique regroupant les producteurs et les ostréiculteurs pour garantir l’emploi !


La coopérative produit alors le melon Perle des Champs, un melon charentais première fleur, le seul à être distingué par un « label Rouge ». Un produit d’exception pour un goût authentique. Mais aussi le melon de Cavaillon, cultivé sur des parcelles rigoureusement sélectionnées… 

 

 

 


Les préoccupations environnementales priment

 

Sur le terrain, on réalise aussi que les préoccupations environnementales sont inhérentes au métier des maraîchers : la terre, la qualité des sols et la bonne santé des abeilles sont les incontournables et essentiels outils de travail. Une fois ramassés, les melons arrivent dans des entrepôts où ont lieu l’évaluation, le tri et le conditionnement. Les machines sont impressionnantes mais l’expertise humaine garde la main. Une machine à laser permet de connaître le taux de sucre et donc de garantir la qualité.


Au final, ce n’est pas moins de deux à trois camions par jour de melon qui partent pour nos magasins Grand Frais. Un premier contact à 7 heures du matin permet d’informer l’acheteur de la quantité de produit disponible correspondant aux exigences de qualité de Grand Frais. Parfois, les melons en question ne sont pas encore récoltés. On affine donc en fin de matinée. Et l’ensemble part dans l’après-midi pour être dans les entrepôts dans la soirée et dès le lendemain dans les rayons !
Bref, qu’il s’agisse des retombées socio-économiques locales, de l’aménagement du territoire ou du respect environnemental, tout est vraiment bon au royaume du melon !

 

Et si ce petit avant-goût du magazine vous a plu, et que vous en voulez encore plus, n’attendez plus ! Cliquez-ici pour consulter l’intégralité du magazine en ligne ! 

 

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