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La mâche du Vaucluse à votre assiette en 24h chrono !

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La mâche du Vaucluse à votre assiette en 24h chrono !

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La mâche du Vaucluse à votre assiette en 24h chrono !

 

À Carpentras, Olivier et Amandine Brun cultivent cette plante herbacée depuis plusieurs générations. Ici, on l’appelle la « doucette ».

 

Chaque année, entre septembre et mars, l’exploitation produit un million et demi de mâches, soit 40 tonnes. Le pic des ventes se situe pendant les fêtes de fin d’année. Plante sauvage à l’origine, elle est cultivée depuis le XVIIIe siècle.

 

La mâche est récoltée à la main. Planté sous serre en motte sur un paillage, le produit fini ne comporte aucun résidu de sable ni de terre. Voici la préparation du lit de plantation au tracteur.

 

 

Placées en cagettes dès la cueillette, les mâches sont aspergées et brumisées avant le transport pour conserver toute leur fraîcheur.

 

 

 

DE LA VENTE « À LA MONTRE » AU PARTENARIAT AVEC GRAND FRAIS

 

Avant que vous ne rencontriez Grand Frais, comment vendiez-vous vos productions ?

 

Olivier Brun. « Nous sommes dans une entreprise familiale. À l’origine, avec mon père, nous vendions les salades, les radis ou les épinards « à la montre », au marché de Châteaurenard. L’expression « à la montre », n’a rien à voir avec une notion de chronomètre. Vendre « à la montre » consistait à venir sur le marché à quatre heures du matin avec des échantillons de sa production, à les montrer aux acheteurs, qui passaient alors leurs commandes. Depuis, avec ma femme, nous avons rebasculé l’exploitation vers la mâche… »

 

Depuis quand travaillez-vous avec Grand Frais ? 

 

Olivier Brun.  « Une quinzaine d’années. Ça se passe très bien. Au début, nous leur avons vendu, presque par hasard, des salades pour dépanner. Et puis, notre relation est devenue bien plus intéressante qu’un simple rapport « acheteur-producteur ». Nous sommes dans des métiers compliqués, à cause des aléas climatiques, mais aussi de la commercialisation. Avec Grand Frais, nous avons un partenaire. Tout le monde est à l’écoute de tout le monde. Si j’ai trop de production – ou pas assez –, on en discute et on cherche ensemble des solutions. Une belle complicité ! »

La mâche du Vaucluse à votre assiette en 24h chrono !

 

À Carpentras, Olivier et Amandine Brun cultivent cette plante herbacée depuis plusieurs générations. Ici, on l’appelle la « doucette ».

 

Chaque année, entre septembre et mars, l’exploitation produit un million et demi de mâches, soit 40 tonnes. Le pic des ventes se situe pendant les fêtes de fin d’année. Plante sauvage à l’origine, elle est cultivée depuis le XVIIIe siècle.

 

La mâche est récoltée à la main. Planté sous serre en motte sur un paillage, le produit fini ne comporte aucun résidu de sable ni de terre. Voici la préparation du lit de plantation au tracteur.

 

 

Placées en cagettes dès la cueillette, les mâches sont aspergées et brumisées avant le transport pour conserver toute leur fraîcheur.

 

 

 

DE LA VENTE « À LA MONTRE » AU PARTENARIAT AVEC GRAND FRAIS

 

Avant que vous ne rencontriez Grand Frais, comment vendiez-vous vos productions ?

 

Olivier Brun. « Nous sommes dans une entreprise familiale. À l’origine, avec mon père, nous vendions les salades, les radis ou les épinards « à la montre », au marché de Châteaurenard. L’expression « à la montre », n’a rien à voir avec une notion de chronomètre. Vendre « à la montre » consistait à venir sur le marché à quatre heures du matin avec des échantillons de sa production, à les montrer aux acheteurs, qui passaient alors leurs commandes. Depuis, avec ma femme, nous avons rebasculé l’exploitation vers la mâche… »

 

Depuis quand travaillez-vous avec Grand Frais ? 

 

Olivier Brun.  « Une quinzaine d’années. Ça se passe très bien. Au début, nous leur avons vendu, presque par hasard, des salades pour dépanner. Et puis, notre relation est devenue bien plus intéressante qu’un simple rapport « acheteur-producteur ». Nous sommes dans des métiers compliqués, à cause des aléas climatiques, mais aussi de la commercialisation. Avec Grand Frais, nous avons un partenaire. Tout le monde est à l’écoute de tout le monde. Si j’ai trop de production – ou pas assez –, on en discute et on cherche ensemble des solutions. Une belle complicité ! »

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